À Paris, le 22 juillet 2019
Bonjour, Mon nom est Carl et je vais me charger de résumer 6 mois d’un stage en quelques lignes.
Arrivé à l’hiver, je pars en été, c’est assez logique me diriez-vous mais je tenais à le préciser pour la poésie de la chose. J’ai posé mes affaires pour la première fois dans les locaux de Poussin un matin d’un vendredi 01 février 2019 où le temps était froid et sec, enfin sûrement. J’ai donc passé 6 mois chez Poussin Communication et je peux dire que c’est passé vite (je n’ai pas écrit ça sous la contrainte).
Pour commencer, parlons des lieux. L’agence est située à Belleville et à titre personnel (c’est le principe), j’aime bien ce quartier. Passées les portes, les locaux sont situés dans un jardin, le bâtiment me fait penser à un ancien atelier d’artistes (après je ne suis pas un expert en architecture parisienne mais ça y ressemble). Les locaux sont agréables. Je tenais à le préciser parce que c’est important
Il est temps de nous concentrer sur mon expérience. Je connaissais, et c’est le hasard de la vie, quelqu’un chez Poussin, un stagiaire comme moi. Du coup, j’avais un peu été spoilé. Il m’avait dit et ce sont ces mots : « Tu verras, c’est hyper formateur ». Maintenant, si un futur stagiaire me lit, j’aimerais te transmettre ces mêmes mots : tu verras c’est hyper formateur. Effectivement, je peux le confirmer, je me sens hyper formé alors c’est aussi mon rôle de prévenir les personnes qui vont le devenir. En ce qui concerne mes journées, je peux assurer qu’elles ne se ressemblent pas entre elles. Enfin si, elles font toutes 24heures, commencent au lever du soleil et terminent à son coucher mais je parle des journées de travail. C’est vraiment stimulant de travailler sur des dossiers différents. De pouvoir participer pleinement à l’élaboration des stratégies de communication. Pas le temps de s’ennuyer et si on s’ennuie, c’est qu’on a oublié de faire quelque chose.
Je vous entends maintenant me dire, « Ok, Carl c’est bien beau ce que tu racontes, mais tu ne nous as pas parlé de l’ambiance ». Réflexion justifiée mais j’y venais. (Je crois avoir signé la pire introduction de l’histoire des éditos). Je n’ai pas de bureau, je travaille dehors, un parapluie a été mis à ma disposition en cas de pluie pour protéger mon ordinateur. Je blague évidemment. J’ai mon propre bureau et une plante que mon prédécesseur (rappelez-vous, « hyper formateur », encore lui) m’a légué. Un jour, moi aussi je la léguerai. En ce qui concerne l’ambiance entre collègues, elle est très agréable et je dois avouer que c’est un aspect très positif. Plein de moments sympathiques. En un mot : synergie.
Bien à vous,
Carl T.
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